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    Kwaïgon S. Ono :: ϟ Administration :: Registres Validés
     
    Kwaïgon S. Ono
    # Kwaïgon S. OnoMer 18 Sep 2013, 18:02

    Kwai'

    Avance, et ne regarde jamais en arrière.

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    { Toi...

    Kwaïgon Shin Ono est né le 7 mars 1988, il a donc 32 ans. Il est de nationalité japonaise et parle japonais, coréen, mandarin, anglais, français et russe. Il a bon niveau équestre.

    { Au Haras

    Dans l'Académie, il est cavalier pro et il veut devenir éleveur. Il va utilisé ses chevaux de propriétaire et enfin, son avatar est Sung Kang

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    Kwaïgon S. Ono Jaune_ban
    Kwaïgon S. Ono Skull

    Physique

    Cheveux souvent long noir, fins et très raides. Il est plutôt svelte, musclé dans son mètre quatre vingt trois. Il a un regard sombre, des traits fins qui trahissent peu de ses émotions. Il porte un grand tatouage qui lui couvre tout le dos, un dragon serpentant du creux des rein jusqu'aux épaules.

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    Caractère

    Kwaï, il n'est pas très bavard, c'est un fait. Mais lorsqu'il se lance, il peu en dire pas mal ! Mais en fait, il ne se contente que de répondre aux questions qu'on lui pose, ni plus, ni moins. Il répond juste et ce qu'il faut. Si la réponse demande une longue tirade, il la fera, sinon, il répondra juste ce qu'il faut. Il est aussi assez timide et ne va pas naturellement vers les autres. Il va attendre patiemment que quelqu'un vienne à lui. Il peut ainsi paraître froid, mais c'est seulement une grande timidité. C'est un être tranquille, au tempérament très calme. Trop calme d'ailleurs, car son panel d'expression faciale est très peu développé. Encore une chose qui peut le rendre froid, il n'est seulement pas très expressif. Sa timidité l'a fait se renfermer un peu sur lui même. Il rêvasse beaucoup et se soustrait au monde qui l'entoure avec une facilité déconcertante. Mais il n'en reste pas moins un observateur hors du commun. Trait qui l'a rendu fin psychologue, à force d'observer les gens. Il interprète très bien le genre humain, et ne se trompe que rarement.

    Tout ces traits de caractère le rendent solitaires et il a peu d'amis. Son passé trouble aidant à cela également. Il est très méfiant et voit toujours le mal avant le bien. Malgré tout, il est un ami d'une qualité rare. Muet comme une tombe et loyal au plus haut point. Il sera toujours là quand il le faut, et même quand il ne le faut pas.

    Ses pêchers mignons ? La nourriture, les voitures et les chevaux. Il pourrait manger sans arrêt que ça ne le dérangerait pas. Surtout qu'il fait partie de cette minuscule partie de la population qui peut manger ce qu'elle veut, elle ne grossira pas. Il n'est pas fan de sport, que se soit en faire ou en regarder, mis à part l'équitation. Mais il préfère le contact avec l'animal que la monte en elle-même. Les cas difficile, extrême, comme il peut l'être, ont sa préférence.

    Côté penchant, il est tout ce qu'il y a de plus hétéro mais ne court pas après la gente féminine. C'est un grand timide, il ne faut pas l'oublier !

    Kwaïgon S. Ono Triple_ban

    Histoire

    Assise au coin du feu, Louna regardait danser les flammes, sans se préoccupé de la chaleur qui lui brûlait les joues par vagues éparses. Elle tourna les yeux vers Kwaïgon, assit dans un canapé, le regard perdu dans les flammes dansantes. Le bras droit en écharpe, pour éviter que ses points ne se rouvre. Il soupira douloureusement et croisa le regard de Louna en le sentant poser sur lui. Il fit un léger sourire à la jeune femme, pour répondre à celui qu'elle affichait sur son visage. Ses yeux brillaient d'une lueur curieuse. Elle croisa les bras sur elle sans cesser de le regarder. C'est finalement le coréen qui brisa le silence accompagné d'un petit rire nerveux.

    Kwaïgon « Quoi ? »

    La demoiselle détourna les yeux un instant en pouffant comme une adolescente. Elle avait un joli visage, un teint pâle et des yeux ambre aux pépites dorées. Ses joues, rosi par la chaleur, rehaussait un peu son visage, le colorant un peu. Elle ressemblait à une poupée de porcelaine ainsi.

    Louna « Tu veux pas me raconter ton histoire ? »

    La question eut l'air de perturber un peu le coréen. Il l'interrogea du regard, mais le sourire figé de la demoiselle et l'étincelle au fond de ses yeux montrait qu'elle n'en démordrait pas. Le garçon soupira et détourna le regard pour le plonger dans les flammes. Il prit une grande inspiration et commença son récit, toujours le regard perdu dans les flammes dansantes, théâtre de sa tragédie...

    « J'ai peu de souvenir de ma petite jeunesse. Je suis né dans une famille modeste. J'étais l'aîné de la famille. Mon père était un passionné de course de chevaux et ma mère rêvait de voyager. Ils auraient pu faire les deux ensemble mais le destin en a voulu autrement. Quand j’eus trois ans, ma mère accoucha d'une petite fille ; Myriam. J'ignore encore pourquoi elle lui a donné un prénom hébreux. Deux ans plus tard, mon père se retrouva avec une jument de course dans les mains suite à un pari qu'il avait gagné. Il était très heureux de son gain. La jument était splendide. C'était un galopeur bai, qui s'appelait Magnolia de Lens. C'était encore une pouliche quand mon père la ramena à la maison. Elle vivait dans le jardin et mon père la débourrait dans un champ voisin. Mais c'était un gouffre financier énorme. Je me souvient que mon père et ma mère s'engueulait tous les soirs à propos de la jument, parce qu'elle coûtait trop cher. On avait pas à manger dans nos assiettes tous les soirs car elle passait avant nous aux yeux de notre père. Mais on pouvait aller à l'école et ma mère nous faisait des vêtements neufs de temps en temps. Elle travailler à mi-temps dans une entreprise de services. Elle faisait des ménages dans les bureaux de Séoul. Nous, on vivait en banlieue et on allait dans une petite école du village. On était heureux de ce qu'on avait, mais triste de voir que la relation entre nos parents allait en se dégradant. On avait peur pour notre avenir. Mais rien ne bougea durant deux ans. La pouliche grandi. Mon père me faisait monté dessus pour l’entraîner, parce que j'étais léger. Elle courrait bien. Elle faisait de bon temps autour du champs. Elle était douce et attentive. Difficile à tenir, mais comme le disait mon père, les chevaux à tempérament font les meilleurs champions, tout comme les hommes. J'avais sept ans et la pouliche trois quand on a couru notre première course. Une défaite. Nous sommes arrivé troisième. Je trouvais que ce n'était pas mauvais pour un couple comme le notre, parti de rien et débarquant de nulle part sur un hippodrome de banlieue. Mon père était furieux du résultat. Il voulait mieux. Nous avons couru plusieurs courses cette année là, sans dépassé la seconde place. Mais on avait bon espoir. Surtout moi. Myriam venait nous encourager. C'était la sortie du weekend pour elle comme pour moi. Ma mère ne venait pas. Elle avait trop peur. Un jockey avait fait une chute mortelle cette année là, et elle ne voulait pas voir si jamais je tombais de ma selle... La jument avait fait une belle saison, mais ce n'était pas suffisant pour mon père. Et lorsqu'on lui proposa de lui reprendre pour l'élevage, il accepta, à condition d'avoir son premier poulain. On ne lui paya rien, mais l'année suivante, il eu entre les mains le premier poulain de la jument comme paiement. Il avait attendu avec impatiente le poulain et il devenait presque insupportable tellement il était tendu. T'imagine bien que l'ambiance à la maison n'était pas terrible... C'est à peu près à ce moment là que Myriam a commencé à montrer des signes de faiblesse. Elle était souvent fatiguée malgré son jeune âge et avait des absences. Mon père ne s'inquiétait pas, il disait que c'était parce qu'elle grandissait. Mais ma mère et moi étions moins confiant. Mais malgré cela, on n'avait pas les moyen d'aller voir un médecin à Séoul. Les choses se calmèrent quand Villard de Lens, le poulain de Magnolia, arriva à la maison. C'est encore mon père qui s'occupa de son débourrage. J'ignore d'où il tenait toutes ses techniques, mais elles étaient efficaces. J'apprenais beaucoup en le regardant faire. On s'est tous attaché à ce poulain cette fois. Il avait quelque chose de particulier. La passion de mon père nous avait touché, ma sœur et moi. Si bien que cette fois, ce fut elle qui grimpa sur son dos lorsqu'il commença le débourrage monté. Cependant, je restais son jockey sur les courses. Il courut sa première course le jour de ses trois ans. Il était plus rapide que sa mère, et plus combatif aussi. Il en voulait toujours plus. Nous sommes arrivé quasiment ex-écho avec le premier ce jour là. Une belle carrière s'ouvrait devant nous. Ma mère venait enfin voir les courses, mais peut être n'aurait elle pas dû. Elle avait trouver un autre travail, dans une chaîne alimentaire, ce qui nous permettait de mieux vivre. Les gains que nous rapportait le cheval lui permettait de se financer tout seul et mon père travaillait toujours en ville. Tout allait enfin mieux. Ce laps de temps à durer peu de temps. Trop peu...

    L'année de ses quatre ans, Villard changea de jockey. Ma sœur prit le relais. Elle rêvait de courir sur son dos, alors on a changé les rôles. Peu avant, on avait mit Villard au steeple, et le cheval préférait. Il adorait sauté. Peut-être que c'est cela qui nous avait fait défaut avec sa mère. On a apprit à monter à cheval à ma sœur, sur cet étalon un peu turbulent mais d'une grande gentillesse. Il était très attaché à ma sœur. A la famille toute entière d'ailleurs. J'avais presque treize ans. C'était à mon tour de passer dans les tribunes les jours de courses. J'y allais avec ma mère, alors que mon père et ma sœur étaient en coulisse. Ma sœur faisait de meilleurs résultats que moi. Elle avait la main plus légère et surtout, elle avait la préférence du cheval. Non pas qu'il ne m'aime pas, mais leur relation à eux était un peu différente. Ils coururent durant deux ans comme ça. Villard avait un très bon palmarès derrière lui et on nous proposait des juments à saillir. Mais mon père refusait toujours. Il voulait attendre la fin de sa carrière. Il avait prévu de lui faire arrêter la course à la fin de sa sixième année de vie. Il n'alla jamais jusque là...

    C'était une course comme les autres. Ou du moins, c'est ce que tout le monde pensait. Le cheval était bien, en pleine forme. Ma sœur était contente de courir de nouveau. Mais il y avait quelque chose de différent. C'était un grand prix. Une course à gros gains. J'avais senti le cheval un peu fébrile. Il tremblait de froid par moment alors qu'il faisait bien vingt cinq degrés dehors. Mais il avait la même attitude que d'habitude. Ma sœur était un peu plus tendue que d'ordinaire à cause de l'importance des gains. Mon père lui mettait la pression plus que d'habitude. Mais les courses à gains comme celle-là, ce n'était pas notre première. Lors de la présentation des chevaux, Villard à trébuché. J'ai eu un mauvais pressentiment à ce moment là, mais mon père refusait de déclarer forfait. C'était une des dernières courses de Villard, il pouvait bien le faire. Je suis resté dans les tribunes basses, dans la fosse, avec une peur au ventre que je ne me connaissais pas. Villard passa devant moi pour aller au stalles. Son regard me fit un haut le cœur. Ses yeux se voilaient, il transpirait à grosses goûtes. Il mourait à petit feu. Il était malade, il avait quelque chose du moins, et personne ne s'en rendait compte. Du moins, personne ne voulait se rendre à l'évidence. Ma sœur était trop petite, elle ne connaissait rien aux soins, et mon père était trop borné pour annulé la participation du cheval. Et moi, j'étais impuissant. Le départ se fit sans encombre. Le cheval parti comme une flèche, pour faire plaisir à ma sœur. J'avais la nausée de le voir souffrir ainsi sans pouvoir rien faire... Le reste de la course ne fut qu'un bien mauvais cauchemar. J'ai espéré durant toute une année être tombé dans le coma et que quand je me réveillerais, rien de tout cela ne serait arrivé. Mais c'était la stricte vérité, et j'ai apprit à y faire face...

    Speacker « Villard de Lens prend la tête suivit du numéro quatre, Santin du Barry. Ils passent la première haie sans encombre, Villard perd deux ou trois longueurs mais reste en tête. Santin le talonne et à six ou sept longueurs derrière, le peloton, conduit par l'as, Caracole el Pagno. Le favori, Quaduck, est au milieu du peloton. Premier virage avec toujours Villard de Lens en tête. A l'extérieur, Santin perd encore une longueur. Ils ne sont plus qu'à quelques longueurs de la seconde haie. Le peloton, toujours emmené par l'as suit sans gagner de terrain. A l'arrière, le numéro dix perd encore du terrain. La seconde haie est passée par Villard de Lens, suivit de près par Santin du Barry. Le peloton arrive sur la haie et … Oh ! Villard de Lens chute ! Il reste au sol près de la corde avec sa cavalière qui est inerte... … »

    Kwaïgon « Ils se sont tous les deux fait piétiner par le peloton, le second a réussi à les éviter. Ma sœur n'a pas survécu aux multiples coups de sabots. Villard s'était fracturé la jambe, mon père l'a fait abattre sur place. Ma mère n'a pas supporté la douleur de cette perte. Elle s'est suicidée quelques mois après. Mon père est devenu dépressif et alcoolique. Il est mort peu de temps après... »

    Le garçon se tut à cette pensée. Il passa sa main valide sur ses côtes sans s'en rendre compte. Le souvenir de la ceinture de cuir de son père se faisant plus vivace. Il se rappelait de ce soir terrible en omettant d'en parler. Ce soir où son père avait mit le feu à la cuisine, sous prétexte qu'il ne voulait plus vivre. Kwaïgon avait été révolté et avait tenté d'éteindre les flammes. Mais le canon du pistolet de son père pointé sur lui l'arrêta dans son geste. Il refusait de mourir brûlé avec lui. Il s'était battu tout ce qu'il avait pu et le coup était parti, laissant un trou circulaire et sanglant dans la gorge de son père...

    Louna « Et ensuite ? »

    Le coréen tourna les yeux sur Louna. Elle était face à lui désormais, toujours par terre, les genoux remonter contre sa poitrine, le menton posé sur ses genoux, le regard grave, les bras serré autour de ses jambes. Le brun soupira de nouveau et détourna encore les yeux...

    Kwaïgon « Pas ce soir... Il est trop tard pour un si sombre passé... »

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